Sachez envelopper, selon la convenance, D’un petit conte aimable, une grave ordonnance. Il faut d’un peu de miel, avec dextérité, Couvrir les bords du vase où l’on boit la santé : Le Tasse nous l’a dit, et ces fous de poètes Nous offrent quelquefois d’excellentes recettes. Le malade distrait se sent mieux quand il rit ; Et, pour guérir le corps, je m’adresse à l’esprit.